Question:
combien de pays avez vous visité ? et lequel vous as marqué?
Nicky ►B/CZ◄
2006-06-18 06:14:47 UTC
J'ai visité 20 pays et j'ai 26 ans. Mes premiers pays j'avais 2 mois, c'etait en Tchècoslovaquie en voiture . Le pays de ma mère. Le pays qui ma marqué c'etait le Canada à Vancouver pour mon année academique en anglais. une expérience inoubliable. C'etait le vingtièrme. Mon reve c'est de visité la Nouvelle Zelande , l'irlande, La suede, le Chili.
Dix-huit réponses:
Flee
2006-06-18 16:57:35 UTC
J'ai 23 ans, j'ai suivi mes parents à vivre ou visiter autres pays, mais mon pays d'origine est HongKong, puis on est parti vivre en Nouvelle-Calédonie, donc tout près, j'ai pu visiter l'Australie, Nouvelle-Zélande, et Bora-Bora, puis Hawaï, Canada (Vancouver, Toronto, Montréal, Québec), Londres, Taïwan, Pékin, Shanghaï, puis le Japon. C'est le Japon qui m'a le plus marqué, car un échange scolaire dans une université de Okinawa pendant un an, et mon rêve était de visiter le Japon, comme Kyoto, Osaka, Nara et Tokyo. Il me reste que l'Europe maintenant!!!
2006-06-19 13:41:18 UTC
J'ai 21 ans, et j'ai visité l'Angleterre, l'Espagne, l'Allemange et la Suisse.L'Angleterre c'est mon pays préféré par sa culture tellement différente, j'ai vécu quelques semaines par ci par là, à Londres très récemment, Winchester, Birmingham, Cambridge, Bournemouth, Oxford, j'aime tout de ce pays, même la pluie lol !!!!!

Mon rêve serait d'aller au Japon, car je suis passionnée par ce pays, et la Chine aussi.

j'aimerai beaucoup visiter la Russie car j'apprends le russe.
maitre yoda
2006-06-19 10:40:09 UTC
le "pays" qui m'a le plus marqué est celui de la planete espere :



La planète ESPERE









Il était une fois un groupe d'hommes et de femmes qui, désespérés de vivre sur la planète ou régnaient l'incommunication, l'incompréhension, la violence, l'injustice et l'exploitation du plus grand nombre par des minorités bureaucratiques, politiques ou militaires, décidaient de s'exiler. Oui , de quitter leur planète d'origine, la planète TAIRE, pour aller vivre sur une planète différente qui avait accepté de les accueillir.



Il faut que je vous dise des maintenant ce qui faisait la particularité de cette planète différente, appelée ESPERE.

Il s'agit en fait d'un phénomène relativement simple, mais dont la rareté mérite une grande attention.

Sur cette planète, dès leur plus jeune age, les enfants apprenaient à communiquer, c'est-à-dire à mettre en commun.

Ils apprenaient à demander, à donner, à recevoir ou à refuser. Vous allez certainement sourire ou être incrédules devant quelque chose qui peut paraître si puéril ou encore si évident que cela ne retient l'attention ou l'intérêt de personne.

Vous allez penser que j'exagère ou que j'ai une arrière-pensée trouble. Si c'est le cas, cela vous appartient.

Je vous invite quand même à écouter la suite.



Sur la planète ESPERE, qui avait en elle aussi une longue histoires de guerres et de destruction sur plusieurs millénaires, on avait enfin compris que ce qui fait la sève de la vie, ce qui nourrit le bien-être, l'énergie vitale et surtout ce qui donne à l'amour sa vivance, c'était la qualité des relations qui pouvaient exister entre les humains : entre les enfants et les parents, entre les adultes eux mêmes.

Cette découverte ne s'était pas faite sans mal, il avait fallu l'acharnement et la foi de plusieurs pionniers, la rigueur et la cohérence de ceux qui suivirent, pour accepter ce qui était depuis longtemps si masqué, si voilé, à savoir que tous les habitants étaient a l'origine des infirmes, des handicapés de la communication. Par exemple, que beaucoup justement ne savaient pas demander, et donc prendre le risque d'une acceptation ou d'un refus. Mais qu'ils prenaient, imposaient, culpabilisaient, violentaient pour avoir, pour obtenir.

Oui, je vous le dis tout de suite, le Dieu qui régnait dans cette époque lointaine sur la planète ESPERE était le dieu AVOIR. Chacun voulait acheter, voler, déposséder les autres, enfermer dans des coffres, capitaliser le Dieu avoir. Celui-ci régnait sur les consciences, imposait ses normes, et sa morale régulait la circulation des richesses, violait toutes les lois humanitaires, contournait tous les règlements à leur seul profit.

La plupart des humains de l'époque ne savaient plus donner, ils vendaient, échangeaient, trichaient pour échapper au partage, thésaurisaient pour amasser, se faisaient la guerre sans fin pour accumuler, avoir plus.

Le recevoir était le plus souvent maltraité. Accueillir, amplifier tout ce qui aurait pu venir de l'autre était risqué, déconseillé.

L intolérance à la différence orientait le plus grand nombre vers la pensée unique, les intégrismes ou le politiquement correct.

Le refuser était également l'enjeu de beaucoup d'ambivalences, le refus était assimilé à l'opposition, au rejet, à la disqualification et non au positionnement, à l'affirmation positive quand on à la liberté de dire non dans le respect de soi. "

"A cette époque, le dieu AVOIR s'appuyait sur des principes forts, communément pratiqués au quotidien de la vie personnelle, professionnelle et sociale de chacun.

Je vais juste en rappeler quelques-uns uns pour mémoire, car, évidemment, ces principes sont devenus aujourd'hui caducs sur la planète ESPERE.

Le premier auquel tenaient beaucoup les parents et les enseignants de l'époque était de parler sur l'autre. Oui, oui, non pas parler à l'autre, mais parler sur lui avec des injonctions, en lui dictant par exemple ce qu il devait penser ou ne pas penser, éprouver ou ne pas éprouver, dire ou ne pas dire, faire ou ne pas faire. Vous le comprenez bien, ce principe était destiné à maintenir le plus possible les enfants dans la dépendance et développer plus tard cet état au seul profit de quelques-uns en entretenant des rapports dominants dominés.

Un autre principe était de pratiquer la disqualification ou la dévalorisation. De voir et de mettre en évidence tout de suite les fautes, les manques, les erreurs et non pas, bien sûr, de constater, de valoriser les réussites, les acquis ou le succès.

S'ajoutait à cela la culpabilisation, très prisée, car elle évitait de se remettre en cause ou de se responsabiliser en rendant l'autre responsable de ce qui nous arrivait ou même de ce qu'on pouvait ressentir.

"Regarde comme tu me fais de la peine, comme tu me rends malheureux en ne suivant pas mes conseils... ''

Le chantage, la mise en dépendance, la manipulation complétaient les principes déjà énoncés pour maintenir entre les humains un état de malaise, de non confiance, de doutes, d'ambivalences et d'antagonismes propices à entretenir méfiances, violences et désirs de posséder plus.

A un moment de l'histoire de cette planète, il y avait tellement de conflits, de guerres, non pas d'un pays contre l'autre mais à l'intérieur d'un même pays, que deux humains sur trois survivaient dans l'insécurité, la pauvreté et toujours la faim présente. Il n'y avait jamais eu autant d'exploitation économique et sexuelle des enfants, autant de génocides décidés froidement, de tortures et d'intolérances.

L'homme était devenu un prédateur redoutable, doté de pouvoirs technologiques, chimiques, biologiques ou de capacité de manipulations audiovisuelles si puissante qu'aucun contre pouvoir ne pouvait l'arrêter. Puis survint un stade critique où la violence intime, une violence de survie, fit irruption dans les familles, dans les villages, dans les quartiers des grandes villes. L'apparition de cette violence, de plus en plus précoce, réveilla les consciences(. . . )

Ne croyez pas cependant que tout le monde restait passif ou inactif. Beaucoup se mobilisaient, les réformes se succédaient, les commissions se réunissaient, les tribunaux internationaux tentaient de juger les plus criminels, certains dictateurs à la retraite ne se sentaient plus en sécurité, des ministres passaient devant les hautes cours de justice, des financiers célèbres étaient envoyés en prison.

Mais comme vous l'avez remarqué sur notre propre planète, toutes ces actions se faisaient en aval, dans l'après coup, il n'y avait aucune réforme en amont. Aucune pour unifier, se réconcilier, proposer à chaque être des règles d'hygiène relationnelle susceptibles d'ouvrir à des relations vivantes, créatrices, conviviales.



C'est pourtant ce que firent, en quelques décennies, ces pionniers, ces éveilleurs de vie de la planète ESPERE quand ils convainquirent des parents, des adultes de descendre un jour dans la rue pour se mettre en grève de vie sociale; on n'avait jamais vu cela dans toute l'histoire de cette planète : des hommes et des femmes décident de se mettre en grève d'existence pour tenter de sauvegarder le peu de vie qui subsistait sur cette planète.

Comment firent ils?

Ils s'arrêtèrent de travailler, d'acheter, d'utiliser les transports publics et privés, de regarder la télévision, ils sortirent dans la rue, se rencontrèrent, échangèrent, s'offrirent ce qu'ils avaient, partagèrent au niveau des besoins les plus élémentaires. Ils s'apprirent mutuellement le peu qu'ils savaient sur une autre façon de communiquer et découvrir ensemble le meilleur d'eux-mêmes au travers du meilleur de l'autre.

La suite n'est pas simple, les démarches furent complexes, les résistances vives, mais un jour, dans un des pays de cette planète, on décida d'apprendre la communication à l'école comme une matière à part entière, au même titre que les autres : s'exprimer, lire, écrire, compter, créer, communiquer. Et dans ce pays, la violence commença à disparaître, le niveau de santé physique et psychique augmenta, des hommes et des femmes découvrirent qu'ils pouvaient s'autoriser à être heureux.



Un jour, les hommes et les femmes qui continuent de vivre, de survivre, sur la planète TAIRE devenue invivable, décideront peut-être, non pas de s'exiler et d'aller vivre sur la planète ESPERE , mais plus simplement d'apprendre à communiquer, à échanger, à partager autrement.

Vous vous demandez peut-être où est située la planète ESPERE dans l'espace ?

Je vais vous faire une confidence, elle est à inventer dans votre coin d'univers, dans chaque lieu où il y a de la vie.
micha
2006-06-19 08:28:31 UTC
pas mal de pays traversés,le plus marquant: l'Ecosse!!!!



à voir absolument,pour ceux qui aiment les grands espaces naturels et restent cloués devant la beauté sauvage.

Il y a aussi les gens et les villes,la culture,un grand coup de coeur...
manuella156
2006-06-19 06:35:37 UTC
j'ai 29 ans et je n'ai jamais voyager. mon rêve c'est de visiter la France , pays de lumière.
Espectacularrrrr!
2006-06-19 02:29:04 UTC
Je ne suis pas allé aussi loin, je suis resté en Europe : Angleterre, Ecosse, Pays De Galle, Allemagne, Espagne, Belgique, Pays-Bas, Pologne.

J'ai beaucoup aimé la Pologne (terre de mes ancêtres, comme on dit dans les livres) et l'Ecosse, pour la beauté des paysages naturels, et l'Allemagne, pour l'ouverture d'esprit de ses habitants. Mais mes meilleurs souvenirs de voyage viennent des Pays-Bas : Le classique Flammand, la Mer du Nord, Amsterdam et ses coffee-shops....Que du bohneur.
Doisaken
2006-06-19 01:39:40 UTC
Je travail pour une ONG française de solidarité internationale. très connu, en effet quand il y a Séisme je m’y rends, probablement plus 150 pays.
dodilina
2006-06-18 18:27:38 UTC
J AI VISITE ENORMEMENT DE PAYS DONT :L'ESPAGNE ,BELGIQUE,ITALIE,FRANCE,CANADA(MONTREAL),L'INDE,INDONESIE,MALAISIE,BENGLADESH,SINGAPOUR, AFRIQUE DU SUD, SRI LANKA, EGYPTE, SENEGAL ,BENIN, CAMEROUN,...........J'AI ETE MARQUEE PAR L AFRIQUE DU SUD ET LA MALAISIE.
nounous
2006-06-18 16:49:05 UTC
D'abord j'ai visité l'espane plus exactement Madride c'était mon premier voyage j'avais 5 ans,ensuite le Sahara Algérien,et enfin le Maroc je part chaque année depuis que j'ai eut mes 12 ans j'ai mes grands parents c'est trés beaux et chaque année je découvre quelque chose de nouveau il faut allez le voir.

Mon souhait c'est d'aller à Venise et à la mec Inchallah
provence68
2006-06-18 14:57:51 UTC
je suis allée en angleterre, france, italie, espagne, autriche, suisse, hollande, ecosse, portugal, malte, tunisie, turquie, république dominicaine et mexique.

Mon pays préféré est l'Angleterre pour la mixité de culture par contre je déteste l'espagne (les gens sont vraiment pas sympas) meme si j'ai adoré Barcelone.

Mon prochain voyage sera normalement Las Vegas ou le Canada mais mon reve reste l'Australie ou le Japon
2006-06-18 14:38:50 UTC
une vingtaine peut etre

j'adore l'Espagne

et franchement un gros coup de coeur pour la Hongrie.

Budapest est une superbe ville, les abords du lac Balaton sont enchanteurs et il y a les restaurants avec une cuisine délicieuse et les orchestres tziganes éblouissants...
didier_stras
2006-06-18 14:09:52 UTC
Euh voyons voir...

L'Autriche (2 fois - Innsbruck et Linz), La Belgique (Bruges et la cote du coté de Knock), L'Espagne (2 fois - Andalousie et Catalogne), L'Italie (3 fois - Rome, Venise et La Sicile), La Turquie (Antalia) - J'ai pas aimé, La Thailande, La Province du Quebec (2 fois), USA (de New York à Hawaii en passant par la Louisiane et la Californie, entre autres), L'Australie, L'Afrique du Sud (Le Cap), L'Irlande (Cork), Les Pays Bas (Amsterdam)



Ca fait douze pays. J'aimerais retourner en Australie et visiter la Republique Tcheque et la Hongrie, la Pologne et L'ouest de la Russie.



Et c'est L'Australie qui m'a le plus marqué... Autant pour les paysages que pour les gens!
momo
2006-06-18 13:48:23 UTC
jusqu'a present j'en ai visiter que 3 ,mais cellui que je prefere sans hesitation c bien la turquie
Eliz'eh!
2006-06-18 13:40:34 UTC
moi, j'ai visité la côte d'ivoire, le sénégal, le ghana, la france, le tchad et le burkina-faso en dernier.le pays qui est le burkina à cse de sa culture! mais j'aimerai bien aller au canada(montpellier)!!!
Gurdil
2006-06-18 13:33:40 UTC
moi j'ai visité la Grêce, l'Espagne, la France, l'Egypte, la Suisse, l'Allemagne, l'Italie, la Republique Dominicaine, le Sri Lanka, les Maldives, les Pays Bas, Cuba le tous sur 18 ans et quand au pays que j'aimerai visité sont le Kenya, l'Australie <<(pour le rugby les 2 la)>> la Nouvelle Zelande, l'Irlande, l'Ecosse et pour finir la Jamaïque où j'aimerai tenir un bar sur la une plage ou je pourai faire des cocktails sur un fond de musique des années 70 alalalal le paradis quoi...
irina_61
2006-06-18 13:25:27 UTC
J'ai 21 ans, je suis suisse, et j'ai vu des bouts (assez grands) de la France, de l'Allemagne, du Luxembourg, de la Belgique, des Pays-Bas, du Danemark, de la Grande-Bretagne, de l'Espagne, du Portugal, de l'Italie, de la Grèce, de l'Autriche, de la République tchèque, de la Russie et de l'Inde. Celui qui m'a le plus marqué, c'est l'Inde. C'est juste trop fou!!!!!! J'ai adoré et je suis en train de planifier un autre voyage là-bas...

Mais il y en a tant d'autres que j'aimerais voir. Rien que l'Afrique entière, la Chine, l'Asie centrale, l'Argentine, le Pérou, etc.
Laura .
2006-06-18 13:25:25 UTC
J'ai visité enormement de payx tels que l'Indonésie, la Malaisie, le Nepal, La tunisie (2 fois), le Maroc, La turquie, La Suisse, La France, L'angleterre ...



J'ai 20 ans.



Le pays qui m' a marqué le plus ? L'indonesie ... tt simplement magnifique :d Culture, les gens, Les temples ...



Envie d'aller à Bora Bora par contre
titine91sang
2006-06-18 13:21:58 UTC
j'ai 15 ans mais j'ai visitée que l'angleterre et le belgique celui qui ma marque est l'angleterre , le diference de culture


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